Rapport de Gestion – février 2024
« Les marchés boursiers terminent le 1er trimestre comme ils l’ont commencé : sur les chapeaux de roue.
L’activité économique aux Etats-Unis s’est révélée plus solide qu’attendue, contrairement à l’activité européenne qui ralentit nettement. L’inflation ne diminue pas autant qu’attendu, elle s’affiche encore à plus de 3% aux Etats-Unis et en Europe. Devant le manque de progrès sur le front de l’inflation, les banques centrales ont envoyé des signaux ambivalents.
D’un côté Christine Lagarde a indiqué en conférence de presse qu’il ne fallait pas s’attendre à une baisse de taux en avril mais qu’une baisse en juin était probable, si les augmentations de salaire en zone euro se modéraient. François Villeroy de Galhau, Gouverneur de la Banque de France, a indiqué le lendemain qu’avril était une possibilité.
Le débat fait donc rage au sein de l’institution européenne et les officiels utilisent leurs positions respectives pour influencer le débat. Les marchés ont bien salué ces annonces, retenant que des baisses de taux étaient bien route, et qu’avril ou juin importait peu.
Le CAC40 est ainsi monté à de nouveaux records, dépassant les les 8100 points, porté par les valeurs bancaires et plus généralement cycliques, de retour en faveur. Nos allocations ont bénéficié des ces hausses et les produits structurés des clients sur ces secteurs d’autant plus. »
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